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Travail d'expression écrite en groupe:

 

Vous écrivez un article qui sera publié dans la revue des consommateurs faisant part de vos suggestions pour bien profiter de votre temps libre et vous adonner à des tas d'activités sans avoir à dépenser beaucoup d'argent.

 

Dévoilez tous vos trucs malins, vos astuces et vos expériences personnelles.

 

 

Étant donné la situation actuelle de crise économique dans laquelle nous sommes plongés, chercher de nouvelles manières permettant de bien profiter de notre temps libre est devenu une tâche imaginative si on ne veut pas avoir à payer de sa poche.

 

Fort heureusement, il n’est pas bien  difficile de nos jours de  trouver des lieux ou des suggestions pour bien profiter de notre  temps libre, tout cela grâce à Internet..

On commencera tout d’abord par suggérer la gamme de loisirs meilleur marché tout en se servant des expériences et témoignages livrés par nos proches. Dans un deuxième temps, on abordera l’évolution des loisirs et les facteurs qui y ont contribué. Finalement on parlera de l’importance des réseaux sociaux et des nouvelles technologies et leur impact  sur les  loisirs.

 

En premier lieu,  il est indispensable d’aborder le sujet d’Internet en tant que précieux outil de recherche de renseignements. Étant aujourd’hui le moyen le plus puissant, c’est le lieu où les entreprises du marché de loisir s’annoncent. Par ailleurs, l’Internet est facilement accessible n’importe où, par exemple, on peut chercher par le biais d’un simple click sur son portable le restaurant le plus proche ou acheter son  billet pour aller au cinéma. Non seulement les offres sont publiées  par les entreprises, mais aussi nous mêmes faisons la diffusion de nos préférences grâce aux réseaux sociaux. Néanmoins, on ne peut pas oublier que dans le passé, les choses étaient loin d’être simples et que la moindre recherche supposait une perte de temps non négligeable.

 

En deuxième lieu, nous devons expliquer l´évolution des loisirs depuis nos parents aux loisirs actuels. Nous avons basé l´évolution des loisirs dans la technologie : l´apparition de la télévision, l´apparition de  beaucoup de médias et surtout d´internet .

Par le biais des moyens technologiques modernes dont nous disposons aujourd’hui, nous avons l’embarras du choix pour sélectionner différentes activités qui n’auraient jamais été envisagées par nos parents. 

 

Par ailleurs, nous pourrions ajouter qu’actuellement,  les loisirs sont de plus en plus organisés  malgré le fait qu´ils soient  plus individuels et moins collectifs. C’est la tendance actuelle. Toutefois, étant donné la quantité d´information et de publicité agressive sur cette question, nous devrions être bien vigilants sur le choix de ces activités. Bref, dans tous les pays développés nous regorgeons d’activités et de passe-temps communs d’un bout à l’autre de la planète. De toute évidence, la société des loisirs a subi comme dans tous les autres secteurs l’influence bien nette de la  globalisation 

 

En dernier lieu, on devrait tenir en compte la relation entre le pouvoir d’achat et la possibilité de choisir les loisirs de plus en plus variés que nous avons à notre disposition. Il est vrai qu’on a toujours pensé qu’il fallait beaucoup d’argent pour s’adonner à certains loisirs, comme, par exemple, jouer au golf ou conduire une Ferrari. Néanmoins, grâce aux nouvelles technologies, les choses ont changé et, presque tout le monde peut pratiquer  les activités auxquelles avant, ils n’avaient pas d’accès.

 

D’un côté, on peut trouver des pages sur internet, comme « Groupon » ou « Atrápalo », qui offrent la possibilité de réaliser le loisir dont  on a rêvé depuis longtemps grâce à leur formule « low cost ».

De l’autre côté, on devrait être réalistes puisque il y aurait des activités qui seront toujours inaccessibles pour la majorité de la population, comme acheter des produits de luxe ou faire le tour du  monde.

 

 

Pour résumer, aujourd’hui  il y a bien davantage de moyens pour dénicher les loisirs bon marché, si l’on compare à la génération précédente.

Il suffit de  chercher et d’affûter  notre imagination pour découvrir une variété infinie de choix correspondant parfaitement à notre profil et nos goûts personnels.

 

Le hic, fondamental est que notre mode de vie actuel ne nous laisse malheureusement pas  énormément  profiter de nos loisirs , bien au contraire , il empiète sur une bonne partie de notre temps libre. Cependant, nous devrions faire un effort pour savoir nous arrêter à temps et séparer temps de travail et temps de farniente, phase absolument nécessaire si l’on désire trouver un équilibre entre santé physique ,  psychologique et épanouissement familial et professionnel.

 

PLAN :

Partie 1 – descriptif avantages école langues et festival

Partie 2 – quelles seront les conséquences désastreuses de cette mesure.

Partie 3 – si ce projet devait prendre forme – prendre des mesures de pression

 

Lettre à l’attention de Mr le Rédacteur en chef de « Ici Madrid ».

Ci-joint, Mr Lopez, une lettre que j’ai rédigé au nom de tous les étudiants de l’école de Langues « Douce France » s’adressant à Mme la Mairesse.

 

Introduction :

 

Mme la mairesse, je m’adresse à vous, afin de vous faire part de mon mécontentement dû à la décision de la mairie : la fermeture du centre de langues ainsi que la suppression du festival d’été, faute de moyens (ou : pour cause de réduction budgétaire), selon votre dernier rapport.

 

Nous sommes bien sceptiques quant à la vraisemblance de votre dernier rapport, mettant en évidence la somme considérable que la municipalité pourrait économiser en fermant notre école. Il va sans dire que notre stupéfaction fut totale lorsque nous avons lu sur le bulletin officiel que cette somme, en l’occurrence, allait être consacrée aux travaux de construction de nouvelles bibliothèques et salles de conférences, au sein de notre ville. Ce choix témoigne d’une vision peu clairvoyante : nous n’avons aucunement besoin de tout cela puisque les temps sont à l’austérité.

 

De quoi nous serviraient des bibliothèques sans personnel et des salles de conférence sans conférenciers ?

 

1º partie :

 

Actuellement, tout le monde s’accorde sur l’importance de l’apprentissage des langues dans un monde totalement globalisé. Or, notre école « Douce France » a toujours été un centre de référence en ce qui concerne cette formation.

 

Dès les années 60, date à laquelle l’école a été fondée, des milliers d’étudiants y ont suivi des cours et ont pu bénéficier pleinement de leur qualité.

 

Par ailleurs, le festival annuel d’été est l’événement culturel par excellence. La ville est toujours à l’affût des activités culturelles se déroulant au cours de cette semaine et offrant les meilleurs concerts, spectacles et pièces de théâtre de l’année.

Les billets se vendent comme des petits pains.

Renoncer à ce festival aurait pour conséquence la perte d’un budget considérable.

 

2º partie :

 

Concernant l’école de langues, le terrible résultat de vos mesures, sera subi, notamment par les élèves les plus défavorisés qui ne pourront pas poursuivre leurs cours de langues au sein d’établissements privés. Voilà pourquoi l’accès à l’éducation des langues sera limité aux familles les plus aisées. Est-ce le temps du retour aux années 80, au cours duquel les familles devaient faire de dures économies afin de permettre à leurs enfants de poursuivre des études ?

 

D’autre part, il va de soi que la fermeture des écoles entraînerait un nombre conséquent de licenciements. Est-ce donc le moment de réduire des postes de travail alors que la politique que l’on devrait prôner est paradoxalement celle qui favorise l’emploi. Pensez au nombre de personnes licenciées au nom de la pseudo-réduction budgétaire. Le temps des grands projets mégalomanes est révolu, il faut tout simplement veiller à protéger les établissements culturels qui existent déjà et sont d’utilité publique.

 

Par ailleurs, la suppression du festival d’été, provoquera la disparition de l’événement culturel le plus célèbre et enrichissant non seulement pour les citoyens et mélomanes qui seraient extrêmement déçus, mais aussi pour les nombreux touristes visitant Madrid en été et qui contribuent en grande partie à l’essor du tourisme dans notre ville. De toute évidence, la période estivale est peu attrayante pour les touristes étrangers qui délaissent notre ville au profit des régions du bord de mer. Ceci aurait bien entendu, un impact négatif sur les statistiques touristiques.

 

3º partie :

 

Si ce projet devait prendre forme, nous nous verrions dans l’obligation de prendre des mesures de pression, sous toutes ses formes(manifestations, grèves, assiègements dans des lieux publics, suspensions des cours dans l’intégralité des cours de langues des centres publics de la ville).

 

Étant donné que les professeurs du centre sont chargés de traduire vos discours, nous serions contraints d'arrêter de le faire jusqu'à ce que la Mairie propose une autre alternative.

 

De plus, nous ferions remonter l'information en mettant en scène des petites pièces de théâtre dans différentes langues sur la place de l'Hôtel de Ville.

 

Parallèlement , nous nous chargerions de diffuser sur tous les journaux locaux votre décision de fermeture du centre ainsi que la suppression du festival estival.

 

Conclusion :

 

Ne doutant pas de votre sensibilité à l’égard de la culture et des langues, je suis sûr que vous vous raviserez et que finalement vous reviendrez sur votre projet initial qui, certes, aurait été largement salué par les citoyens en période de prospérité, qui, toutefois, en période de restriction budgétaire perd tout son sens. Le prix de l’ouverture de nouveaux centres culturels ne peut être celui du sacrifice du centre de langues le plus emblématique de la ville. Il faut également que notre ville riche en attraits touristiques continue grâce à son festival à être la figure de proue de toutes les villes espagnoles. N’oublions pas que nous sommes au centre de l’Europe et que les attachés culturels des capitales Européennes nous ont depuis quelques années attribué de nombreux prix. Préservons, Madame la Mairesse, ce que nous avons de plus cher : notre excellence culturelle, ce qui nous distingue et à la fois nous rend l’égalité des chances possibles. Nous sommes à votre disposition pour tout renseignement complémentaire et nous vous invitons à assister à nos cours (j’ai appris, de source sûre, que vous aviez suivi tout votre enseignement au lycée français de Madrid, vous pouvez par conséquent comprendrel’enthousiasme de nos élèves pour la langue et culture françaises).

Modèle lettre réclamation

 

Pour réduire les dépenses, la municipalité de votre ville envisage de fermer le centre de langues où vous étudiez et /ou de supprimer le festival d’été, entre autres. Vous manifestez votre mécontentement et prenez  la défense de ce qui est menacé dans une lettre qui sera publiée dans le  courrier des lecteurs du Journal de votre ville ou mise sur votre blog.

A votre avis, faudrait-il rendre les transports en commun du centre-ville gratuits? Est-ce une mesure qui encouragerait les gens à abandonner la voiture? Est-ce mieux pour l’environnement? Sinon, quelles seraient les mesures à suivre pour améliorer la qualité de vie en ville ? Vous exposerez vos arguments de manière claire et cohérente en citant des exemples. Votre texte comprendra au moins 250 mots

Avant de rédiger votre travail, posez-vous les questions suivantes :

 

- Quel type de texte devez-vous écrire ? Une lettre formelle, une lettre amicale, un article ou un courrier des lecteurs ? Ici, vous devez rédiger un essai.

 

- Quel est le thème de l’article ? L’environnement/ les voitures

 

- Que devez-vous faire ? Vous devez exposer vos arguments qui répondent à la question : « faudrait-il rendre les transports en commun du centre-ville gratuits ? »

 

- Ici, il y a plusieurs questions dans la consigne. La question à laquelle vous devez répondre est la première. Les autres questions vous aident à répondre au sujet.

Maintenant que vous avez fait ce travail préparatoire, faites une liste des arguments/ des opinions que vous allez développer. Ci-dessous, vous trouverez une liste d’arguments possibles à développer.

 

A- D’un côté, la gratuité est une bonne idée : moins d’embouteillages, moins de voitures en ville, c’est plus agréable pour se promener ou faire du vélo. Certaines entreprises ne proposent pas de places de parking à leurs employés : la gratuité des transports pourrait être une solution.

 

B- D’un autre côté, certaines personnes ont peur de la gratuité des transports en commun car pour eux c’est synonyme de dégradation et d’insécurité. Si tout le monde prend les transports en commun, il y aura moins de sécurité et moins de confort. Avantages de prendre de se rendre au travail avec son propre véhicule.

 

C- Les transports en commun sont très utiles mais la ponctualité n’est pas garantie. De plus, les habitants ne sont pas à l’abri d’une grève de train ou de bus. Que faire dans cette situation ? Y aurait-il d’autres alternatives pour améliorer l’environnement ?

Veillez à respecter la structure suivante :

 

Introduction :

Vous pouvez faire une « présentation » du sujet. Par exemple : « De nos jours, les centres villes sont envahis par les voitures » ; « Il est de plus en plus difficile de trouver des places de stationnement en ville, ce qui crée un véritable cauchemar pour se rendre sur son lieu de travail ou pour aller faire les boutiques ».

 

Développement :

A travers cette partie, vous devez démontrer votre opinion en organisant votre rédaction à partir des 3 idées/arguments (A/B/C) et en vous appuyant sur des exemples.

 

Conclusion :

La conclusion doit être le reflet de votre opinion. C’est dans ce paragraphe que le lecteur peut lire votre « position » finale.

Serions-nous plus heureux si l’on n’avait pas besoin de travailler et si l’on pouvait s’adonner exclusivement à nos loisirs ?

            Le travail occupe, au moins, un tiers de notre vie d’adulte. Bien qu’il soit normalement nécessaire pour gagner de l’argent et vivre décemment, comment serait notre vie sans obligations professionnelles ? Profiterions-nous mieux de notre temps en nous adonnant exclusivement à nos loisirs ?

           

    Généralement, la plupart des gens critiquent certains  aspects de leur travail, mais il y en a qui aiment leur activité professionnelle et ne peuvent pas concevoir leur vie sans travail. Quoi qu’il en soit, notre travail, est-il le seul responsable de notre fatigue et de nos larmes ? Serions-nous plus heureux sans travailler ?

           

     Tout d’abord, c’est un fait : les loisirs nous aident à profiter de notre temps libre mais c’est notre activité professionnelle qui dicte notre mode de vie. Chaque jour, nous nous plions à  un horaire à partir duquel nous organisons nos loisirs. Ce sont les loisirs qui nous procurent les moments les plus heureux, mais, si notre vie se réduisait  à ceux-ci,  s’ils se convertissaient  en activité quotidienne, alors  la vie deviendrait très certainement ennuyeuse et routinière.  Bien évidemment, la situation idéale serait  d’avoir un travail qui nous prendrait un temps raisonnable et qui nous laisserait  suffisamment de temps libre pour profiter de nos  loisirs.

         

   Le travail nous aide à faire partie intégrante de notre société car nous sommes censés y  apporter nos qualités, nos atouts, notre talent constructif, ce qui nous distingue des autres tout en mettant ces aptitudes en commun et en apprenant à travailler en équipe. Par conséquent, lorsqu’on travaille, on se sent utile, on s’aperçoit que l’on est un maillon essentiel au bon fonctionnement d’une chaîne. Alors, logiquement ce sentiment est synonyme d’équilibre mental, de bien être et d’épanouissement.

          

  En définitive, il est clair qu’il faut trouver l’équilibre entre travail et loisirs de façon à ce que nous soyons le plus heureux possible. Un excès de l’une ou de l’autre activité ne nous offrira pas la vie dont nous rêvons. Il faut pour cela un dosage équilibré de chacun de ces deux modes de vie. Bref ! La solution coule de source : Essayons de trouver un travail qui nous plaise et qui nous laisse suffisamment de temps libre pour nos loisirs ! Ainsi, nous aurons la chance non seulement,  de faire partie des privilégiés qui travaillent mais aussi de prendre le temps de vivre en famille, de pouvoir souffler, s’amuser et s’épanouir .

Épreuve d’expression écrite avanzado 1 (M-J): Dossier travail

On parle souvent du chômage des jeunes, mais nombre de gens perdent leur emploi la quarantaine ou la cinquantaine passée. Vous parlerez de ce sujet en abordant les points suivants:

 

  • Situation de gens sans emploi dans votre pays

  • Différences entre jeunes et seniors sans emploi

  • Mesures pour lutter contre le chômage

Une des conséquences les plus sérieuses de la crise actuelle est sans doute le chômage ; celui des jeunes mais aussi celui des seniors. Nous étudierons le sujet en abordant en premier lieu la situation du chômage en Espagne, spécialement l’impact du chômage sur les travailleurs âgés de 50-65 ans. Ensuite, nous essayerons à répondre à la question la plus importante : que peut-on faire pour lutter contre le chômage ? Une question qui donne du fil à retordre à nos politiques et à laquelle on doit répondre de façon globale ou du moins, européenne. Nous verrons quelles en sont les raisons.

 

Tout d’abord, quelques chiffres. Il y a 26% de chômeurs en Espagne et un total d’environ 16.200.000 travailleurs actifs. Parmi les jeunes, le chômage est presque de 50%. Il est plus difficile de connaître le nombre exact des chômeurs-seniors, toutefois, il y a un autre chiffre qui nous donne une piste : 2.000.000 de foyers où personne n’a un emploi dont de nombreux cas de seniors. Si un jeune sans emploi est une possibilité de futur qui ne se développe pas, un senior sans emploi est une tragédie actuelle, étant donné que plusieurs de ces travailleurs perdant leur emploi à 50 ans ne travailleront plus. C’est bien souvent, la fin de leur parcours professionnel, et notamment l’ombre de la pauvreté qui tombe au sein de leurs familles. Lorsque ces personnes, découragées par la perte de l’emploi, regardent le monde du travail en Espagne, elles ont beau se battre, elles finissent par conclure qu’il n’y a pas de place pour elles. Et peut être n’y aura-t-il pas non plus de place pour leurs enfants.

 

Par conséquent que peut-on donc faire? Au cours des deux dernières années la réponse à cette question a fatalement touché les mêmes cibles : baisse des salaires, licenciement meilleur marché pour l’employeur et plus facile, moins de droits pour les travailleurs. Cela a été un grand échec, puisqu’ il y a presque un million de chômeurs de plus en 2014. Alors peut être nous sommes-nous trompés de route. Peut être que la réponse serait un grand accord de modération des revenus, pour les travailleurs mais aussi pour les entreprises ; l’Allemagne vient d’entreprendre ce chemin. De plus, il faudrait accorder du crédit aux entrepreneurs, pour qu’ils puissent investir et embaucher. Sachant que le crédit en Espagne est difficile à obtenir –vu la situation de la banque- il faudrait compter sur l’aide de l’Union Européenne. Le manque de crédit pourrait être résolu par un grand investissement du BCE , remettant en marche le moteur de l’économie du Sud de l’Europe.

 

Bref ! La solution au problème du chômage n’est pas aisée. On ne peut cependant pas attendre que la croissance de l’économie future soit capable de produire des emplois : pour les chômeurs il n’y a pas de temps à perdre, il faut agir dès maintenant. D’autant plus quun chômeur qui trouve de l’emploi, c’est un consommateur de plus. De toute évidence, notre économie ne peut pas attendre non plus ! Trinidad Noguera

 Rédactions" la version scannée non corrigée

Rédaction Dossier argent

 

L'argent, mais à quel prix?

 

L’argent est devenu le moteur de nos vies : c’est de toute évidence celui qui décide de nos destins. Est-ce vraiment le symbole d’une vie épanouie? Sommes-nous de nos jours plus matérialistes que nous l’étions auparavant ? Expliquez et argumentez.

Depuis les débuts de l’humanité, nous sommes plongés dans un univers d’échanges, de services, de besoins. Que l’on soit issus des peuples amérindiens, français ou anglais, nous, les Nord-Américains, avons toujours ce besoin d’échanger, de troquer.

Bien évidemment, au départ, la monnaie n’existait pas.

 

Par voies maritimes, on se déplaçait au confluent des rivières pour obtenir des biens qui nous manquaient et en troquer. Cette époque a évolué et a donné naissance à l’ère de l’industrialisation. La machinerie, les ouvriers, le capital, le libéralisme, la bourgeoisie : concepts clés qui nous ont menés à la société actuelle, celle où sans argent, nous perdons espoir.

Nous avons fait le choix de devenir une société capitaliste où prônent le profit individuel et la liberté économique. Est-ce un bon choix? Certains diront que oui, d’autres critiqueront ce système. Le problème découle du fait que l’argent est vite devenu le moteur de nos vies. C’est celui qui décide de nos destins, de nos chemins. Pourquoi concentrer notre réussite personnelle sur de banals bouts de papier? Est-ce vraiment le symbole d’une vie épanouie? En pensant aux inégalités, aux préjugés et aux conflits que provoque ce «trésor», je me dis que le bonheur ne résulte pas dans la puissance économique.

 

Au contraire, l’individualisme qui naît de ce système me rappelle comme nous sommes dorénavant ancrés dans un fléau. L’entraide et l’écoute sont-elles des mots qui pourront disparaitre? Non, mais de nos jours, pour toute action posée, on s’attend à recevoir une prime, une récompense. Que ce soit un «merci», une valorisation personnelle ou bien une somme d’argent, on a tendance à attendre une action en retour. Et ceux qui nous dirigent ne font pas exception à cette règle.

 

Prenons par exemple une catastrophe survenue dans un pays en développement. La communauté internationale va se charger d’aider la population, mais la plupart des pays qui viennent à la rescousse de ces victimes agissent à des fins politiques et économiques. Quel malheur de se rendre compte que l’argent est devenu le Dieu du XXIe siècle! Peut-être que c’est moi qui suis pessimiste, mais nous devons changer le cours de l’histoire.

 

Le problème ne se résume pas nécessairement au type de système dans lequel nous vivons. Tous les pays, que leurs dirigeants soient capitalistes, communistes, despotes ou utopistes, sont majoritairement corrompus. Non par l'argent, mais par le pouvoir. L'argent n'est que le fantôme d'une recherche humaine d'être plus grand que soi. On ne veut plus s'unir à la nature, on veut la posséder, la maitriser, en devenir les propriétaires, voire les créateurs. Le pouvoir : voilà la base du vrai fléau. Mais ce dernier entretient une relation vicieuse avec l’argent. Qui sommes-nous sans argent? Impuissants, sans pouvoir. Ce papier fiduciaire représente le pouvoir qu'on exerce sur une terre qui, paradoxalement, ne nous appartient même pas. « Quand l'homme aura coupé le dernier arbre, pollué la dernière rivière, tué le dernier animal et pêché le dernier poisson, il s'apercevra alors que l'argent n'est pas comestible.» Proverbe amérindien qui reflète bien que l’humain n’investit pas son énergie, ni ses priorités, à la bonne place.

Rédaction mars / avancé  1

 

La santé

 

 

 

 

D’abord, il faut déterminer lesquels de ces problèmes de santé sont de vraies maladies, plutôt que des symptômes d’autres maladies pas si nouvelles. Il est important de savoir, par exemple, si un cas de grosse fatigue n’est pas lié au cancer ou à la sclérose. il faut donc, toujours se faire suivre par son médecin traitant, parce que lui seul peut nous garantir un diagnostic juste. Par la suite, nous pourrons envisager une thérapie. En cas de maladie grave, c’est sûr que le spécialiste nous conseillera de ne pas abandonner les thérapies traditionnelles pour commencer une thérapie fondée sur le rire, sur l’art ou sur la musique. Leur efficacité dans ces cas là est moins que probable. Quand bien même on n’abandonnerait pas la thérapie prescrite par notre médecin, on pourrait par ailleurs, s’appuyer sur des thérapies plus innovantes. Peut être qu’elles ne seront qu’un « effet placebo », mais si le malade se sent mieux, il n’y a aucune raison de les lui interdire.

 

 

De nos jours, nombreux sont les articles qui paraissent à ce sujet dans les journaux : stress, grosse fatigue ou dépression sont à l’ordre du jour. On parlait rarement de tous ces problèmes de santé il y a une centaine d’années. Bien qu’ils aient été presque inconnus par nos grands parents, maintenant les données et les chiffres et leur impact dans la société sont effrayants. Afin de déterminer leurs causes, les experts soulignent le modèle de société, les temps de travail trop longs, mais aussi l’individualisme et le manque de contact entre les personnes. Bien évidemment, leurs conséquences sont nombreuses : les malaises, les grandes souffrances subies par les individus ; la diminution de la productivité, voire des pertes d’argent dans les entreprises et une grande dépense notamment pour le système public de santé. Il est normal que l’on cherche des solutions partout, tout en en s’appuyant sur des thérapies non traditionnelles. Toutefois, est-ce que toutes ces thérapies sont efficaces? Quel est leur pourcentage d’efficacité du point de vue scientifique? Est-ce qu’elles doivent être couvertes par la sécurité sociale? Nous essayerons de répondre à toutes ces questions qui en disent long sur la préoccupation actuelle.

Néanmoins, il est toujours nécessaire d’être prudents. Certaines de ces thérapies n’ont aucune garantie du point de vue scientifique et pourraient être d’ailleurs dangereuses. Le risque pour la santé est toujours une chose sérieuse et la communauté scientifique oblige à faire beaucoup de tests avant de donner son approbation à de nouveaux médicaments et thérapies. A mon sens, aucune “solution de santé” ne devrait être prise en charge par la sécurité sociale avant d’avoir obtenu la bénédiction de la communauté scientifique, y compris l’Organisation mondiale de la santé et les autorités de santé européennes et nationales compétentes.

 

Enfin de compte, dans le domaine de la santé comme partout, le bon sens est toujours notre meilleur allié. Si l’on ne se sentait pas bien, le premier pas serait d’aller chez le médecin et de suivre ses conseils. D’autre part, si l’on veut aussi essayer une thérapie innovante, on devra prendre garde aux chants de sirènes, aux vendeurs de miracles et aux faux prophètes. Le rire nous fait sentir mieux, c’est vrai, mais quand nous sommes vraiment malades il est peut probable que cela suffise à nous guérir. Laissons donc la place à la médecine conventionnelle dans ces cas-là

Aujourd’hui sur le Forum Santé nous aborderons un sujet polémique: Nouvelles thérapies pour de nouvelles maladies?

Rédaction mai / avancé  1

 

SUR LE SUJET : LA SANTÉ/LE SPORT

Mon cher Pierre

 

Hier matin, j’ai rencontré notre amie Christine qui  s’inquiétant sur ta  santé m’a longuement parlé de toi. Apparemment tu « ne serais pas dans ton assiette » depuis plusieurs  semaines. Je suis désolée pour toi !

D’abord, Christine m’a dit que tu étais « tombé dans les pommes » quand ta femme t’avait annoncé qu’elle était enceinte de jumeaux.  Tout d’abord, mes félicitations pour cette bonne nouvelle,  bien que je sache qu’elle a été  trop forte pour ton cœur délicat.

 

À mon avis, c’est à cause de ton état de fragilité émotionnelle que tu es tombé par la suite dans les escaliers. Résultat : tu t’es cassé la jambe. Alors, tu as été conduit à l’hôpital et tu es resté hospitalisé pendant deux semaines au cours desquelles, manque de chance, tu as attrapé un rhume, avec congestion nasale et de fortes toux. Et le bouquet ! c’est que  tu as attrapé une infection virale.

 

Maintenant, je sais que tu es chez toi absolument déprimé. C’est pour cette raison que je vais te donner quelques conseils qui te permettront, j’en suis sûre, un  prompt rétablissement.

 

En premier lieu, concernant la naissance de tes jumeaux, il faut  dire que ce n’est pas une mauvaise nouvelle, parce que si les enfants viennent au monde « avec une cuillère en argent dans la bouche », en fait, dans ton cas, ils en auront deux ! Réjouis-toi, essaie t’y voir le côté positif.

 

En deuxième lieu, malgré le fait que ta jambe soit cassée et qu’ils t’aient mis un plâtre , tu pourrais profiter de ces moments de détente à la maison pour commencer à organiser tes idées pour les changements qui vont survenir dans  ta vie, par exemple la perte de ton studio qui je suppose sera converti en  chambre pour les  jumeaux ! Et oui ! Il faut savoir renoncer à ce qui nous était cher à l’arrivée de nos bambins !

Pour finir, je te conseille de ne pas oublier de suivre une alimentation équilibrée et d’ajouter aussi des vitamines pour combattre cette infection virale qui t’épuise. Je suppose que les médecins t’ont prescrit des antibiotiques et du sirop. Ça va encore ! Je sais à quel point tu es peureux ! Cela pourrait être pire, je sais que tu as une peur bleue des seringues !

 

Bref !Mon ami, j’espère que cet e-mail t’aura fait sourire et remonté un peu le moral dans un moment où ta santé est plutôt délicate.

 

Prend bien soin de toi ! Ménage-toi ! Dans moins de 8 mois tu auras tout oublié et tu seras en pleine forme, j’en suis sûre, rien qu’en voyant le sourire charmant de tes deux chérubins.

 

Je te souhaite un prompt rétablissement

 

Ton amie,

María

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