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Le snack après la plage « pour manger sur le pouce », le fast-food de temps à autre « pour faire plaisir aux enfants » et des plats surgelés en soirée pour « profiter au maximum des invités »… Même en vacances, la tentation de la malbouffe – pourtant décriée tant sur le plan du goût que de la santé – reste omniprésente. Parce que nous n’avons pas envie de nous imposer des contraintes, parce que le « tout prêt »                                                       pour toutes les activités qui sont le sel de nos vacances.

 

A DÉCOUVRIR

 

Mais à considérer la cuisine et les repas comme des temps morts à raccourcir toujours davantage, nous passons à côté de bien des plaisirs. A commencer par celui de préparer et de déguster en famille un repas fait maison,                                                              . Comme celui, encore, de redécouvrir la saveur authentique de produits sains ou d’aliments dont nous avons oublié le goût au naturel.

 

Certes, cela demande un peu de temps et des talents que nous ne sommes pas sûrs de posséder : combien d’entre nous avouent piteusement ne pas être de parfaits « cordons-bleus » ? Mais ce sont précisément à ces barrières – que nous construisons d’ailleurs souvent nous-mêmes - que le défi de cette semaine entend s’attaquer. Car                                                 pour cuisiner et surtout prendre du plaisir à cuisiner. Ni pour se rendre compte que le temps que nous passons derrière nos fourneaux est tout sauf perdu.

 

Cuisiner, c’est ressentir

 

« Faire une pause dans nos mauvaises habitudes alimentaires signifie prendre le temps de repenser notre rapport à la nourriture mais aussi la relation à notre corps. Un temps nécessaire pour savoir » précise Delphine Debronde, coach et psychothérapeute. Une question fondamentale qui concerne                                                          mais aussi notre façon de nous nourrir. Un exemple ? Un plat tout prêt, vite réchauffé, sera très certainement aussi vite englouti. En un mot : bien souvent, nous ne mangeons plus, nous nous alimentons. Sans penser, sans rien éprouver. « Pourtant quand nous mangeons, nous ingérons autant d’émotions que d’aliments, poursuit Delphine Debronde. C’est pour cela qu’il est important de prendre le temps de découvrir ce dont nous avons réellement besoin. Ce qui nous pousse à manger ou non. Ce que l’on cherche à combler avec tel ou tel aliment. »

Réduit à la portion congrue, le temps autrefois dévolu à la préparation du repas nous fait ainsi cruellement défaut aujourd’hui. Non seulement nous ne nous interrogeons plus sur nos besoins, ni sur ce que nous mangeons, mais surtout nous avons oublié toute la gamme des sensations,                                                                  , que nous apporte la cuisine. « Cuisiner, c’est avant tout ressentir, éprouver. Nous avons un rapport très sensuel aux aliments : les étals des marchés pour le plaisir des yeux, mais aussi les parfums des fruits que l’on coupe ou le toucher quand on lave, on épluche ou on sculpte les légumes », poursuit la coach. Autant de sensations agréables que le contact glacial du carton que l’on sort du congélateur a parfois malheureusement éclipsées.

Une semaine sans malbouffe !

A- il n’est nul besoin d’être un chef

 

B- pourtant si douces

 

C- nous donne l’impression de libérer du temps

 

D- non seulement le contenu de nos assiettes

 

E- aussi simple soit-il

 

 

 

 

 

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Corrigés

1-C / 2-E / 3-A / 4-D / 5-B

Cette année, ma bonne résolution sera... d'apprendre une 16ème langue.

Tout à fait!

On le sait tous, les bonnes résolutions sont bien connues pour être rarement tenues, jetées aux oubliettes après quelques semaines de dévouement hésitant ou                                                       pour devenir sources de honte de ne pas avoir su s'y tenir. Je les ai moi-même vécues de la sorte. J'imagine que c'est notre cas à tous. Cependant, même si je n'ai pas forcément toujours suivi mes bonnes résolutions par le passé, je pense qu'il est absolument indispensable de se faire un programme pour réussir, même un programme très vague. Alors sortez votre agenda - que vous avez reçu comme cadeau - et commencez à noter les heures de la journée pendant lesquelles vous auriez potentiellement le temps d'étudier. Restez concentré sur des tâches réalisables et soyez                                                          : ne réservez pas deux heures à l'espagnol le mercredi si vous savez que vous ne pourrez y accorder qu'une demi-heure maximum. Le secret pour réussir est d'étudier avec des sessions courtes mais efficaces et d'étudier régulièrement.

Internet est devenu un ressource incroyable pour tous les apprenants de langues: dictionnaires en ligne, tutoriels vidéo, forums et cours complets disponibles ont                                                                 de la langue désirée bien plus facile. L'apprentissage interactif et autoguidé des langues a connu une avancée remarquable. Bon, les livres attendent d'être ouverts et le lecteurs CD est déjà prêt pour l'attaque.

Les amateurs des nouvelles technologies et autres obsédés des applications, seront ravis d'apprendre qu'il n'y a                                               d'outils interactifs disponibles pour qui a pris l'excellente résolution d'apprendre une langue.

 

 

 

Au côté de son frère jumeaux Matthew, Michael Youlden a appris plus d'une douzaine de langues depuis qu'il a huit ans. Alors quand il s'agit de prendre la résolution d'apprendre une langue, Michael est de bon conseil.

 

La rentrée, c'est de nouveaux projets, de nouvelles idées... Qu'il s'agisse d'économiser pour le voyage de sa vie, d'aménager enfin la pièce vacante ou de changer d'appartement, il n'y a pas meilleur moment... Moi j'ai décidé de commencer à apprendre le bengali et je continuerai à apprendre les langues que j'étudié actuellement ( le hongrois et l'albanais).

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carrément refoulées

 

raisonnable quant à vos objectifs

 

rendu l'apprentissage

 

jamais eu autant

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4

NIVEAU AVANCÉ. COMPRÉHENSION DE LECTURE.

 

 

Complétez chaque trou avec l´extrait qui convient.

Attention, il y a 4 extraits en trop.

L´extrait 0 est un exemple.

 

                              

DES VILLES OÙ IL FERAIT BON VIVRE

 

Du 16 au 19 mars, la deuxième édition de Vivre les villes se déroule partout en France : l'occasion pour petits et grands, simples usagers ou professionnels, de découvrir l'architecture et l'urbanisme de leur ville.

 

Au programme, visites guidées, parcours thématiques, itinéraires urbains en trois temps : le jeudi pour les scolaires, le vendredi pour les professionnels, et le week-end pour tous les publics. Pédagogie, interaction  leur permettront de voir et comprendre à la fois de quoi et par qui est faite la ville d'aujourd'hui. --- 0--- , vivre la ville pleinement c'est savoir la lire, la décrypter : ainsi, les réalisations récentes sont-elles mises en avant et expliquées au niveau de leurs caractéristiques propres et de leur inscription dans le lieu qui les accueille et qu'elles habitent. Double dialogue : du public avec les réalisations et de ces dernières avec l'environnement dans une dimension --- 1--- .

 

A l'occasion de cette manifestation nationale destinée au grand public il s'agit d'interroger ce qui est loin d'être une évidence : la lisibilité et la visibilité de l'architecture. Trouvez l'intrus : l'architecture, la sculpture, la peinture, la danse, la musique, la poésie, le cinéma. Quelle est la seule, parmi ces sept disciplines, qui reste méconnue du grand public ? C'est paradoxalement l'architecture. Se souvient-on encore de son statut d'art majeur ? Paradoxe, car c'est à la fois le seul art qui est le moins démocratique et le moins populaire, mais en même temps, --- 2 --- .Notre cadre de vie en est l'expression quotidienne. En effet, comparé aux autres arts majeurs, l'architecture, notamment l'architecture contemporaine demeure inaccessible pour la grande majorité de la population et se confine dans une communication élitiste. On n'a pas besoin d'être initié à l'art de la musique classique pour apprécier la musique de Beethoven, de Wagner ou de Bizet. On n'a pas besoin d'être critique d'art ou étudiant en histoire de l'art pour aimer les cartes postales ou les posters des peintures de Picasso, de Van Gogh ou de Gauguin. Pourquoi n'en est-il pas de même pour certaines grandes oeuvres de l'architecture qui méritent d'être largement appréciées,--- 3 --- ?

 

On peut constater une évolution dans les supports de diffusion dans les autres arts. Par exemple, sans parler des musées nationaux, l’œuvre picturale est passée de la collection privée d'antan aux posters vendus aujourd'hui dans les couloirs du métro ou aux cartes postales --- 4 --- qui font face à Beaubourg. On peut donc y voir une appropriation du grand public de ces oeuvres dont l´appréciation, à l´époque, n'était réservée qu'à des milieux privilégiés. Cette démocratisation du goût pour la peinture ne signifie pas une appréciation approfondie, mais elle révèle néanmoins l'ouverture de ce champ esthétique au plus grand nombre. Ceci se traduisant par une évolution vers des supports de diffusion plus accessibles. Et cependant, --- 5 ---. Car chacun a bien conscience du fait que si on peut aller acheter la carte postale d'une oeuvre d'art découverte dans un musée, on peut aussi aller voir des expositions d'artistes découverts pour la première fois sur une carte postale. Le mouvement peut se faire dans les deux sens. Et oui ! Mais il a bien fallu au départ une sorte d'ouverture de l'univers de la peinture sur le public au sens large.

 

L'État doit-il faire face tout seul ? Est-il possible de faire évoluer les mentalités largement hostiles à l'architecture contemporaine si les architectes eux-mêmes --- 6 ---, notamment à travers l'adaptation de leurs supports de communication ? L'architecte excelle dans la communication du projet. De par sa nature, cet outil de communication ne peut donc être destiné au grand public, ni aux habitants, qui sont de simples consommateurs non initiés de l'espace architectural. La culture du projet, c'est l'univers spécifique d'un architecte ou d'une agence. Les expositions, les conférences et les monographies --- 7 --- auprès du public. Or les expositions réussies sont rares, les conférences sont peu fréquentées et les monographies, souvent publiées à compte d'auteur, ne sont pas des succès de librairie. En conclusion, la culture d'une agence ou le background qui permet d'apprécier le travail d'un architecte à sa juste valeur, manque de lisibilité pour le grand public.

 

Papus Sanvee et Jean-Baptiste Touja, Evene.fr

A.   c´est le seul qui nous concerne tous

B.   les cathédrales mises à part

C.   les musées devront s´y soustraire

D.   ne prennent pas part à cette évolution

E.   ne tiennent pas à cet entretien

F.   on n´a pas pour autant fermé les musées

G.  pourtant, les monuments religieux y échappent

H.  que l´on trouve dans des boutiques

I.   qui se rencontrent immanquablement dans les boutiques

J.  qui se veut festive et éducative

K.  sont censées véhiculer cette culture

L.  tel que la manifestation nous le propose. 

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